Je marchais paisiblement sur le chemin lorsqu’il m’est venu une pensée saugrenue, voire inusitée. Je regardais les marcheurs devant moi et je me disais en regardant leurs mollets qu’il me serait impossible de faire ce chemin sans leur contribution. Je regardais plus attentivement pour m’apercevoir qu’ils étaient de formes et de volumes différents. Tout comme les marcheurs avec qui ils cohabitent d’ailleurs. Il y en a des longs émincés, des petits trappus et d’autres en formation. Un mollet ne pourra jamais être un pied mais restera pour moi une partie de moi indispensable à la bonne marche de mon voyage vers Compostelle.
Si cet article vous a inspiré, devinez à qui appartiennent les mollets ci-dessous et gagnez une pensée des pèlerins fous…

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