Eh bien oui. Personne ne pense à en parler. Je marchais ce matin les yeux vers le chemin lorsqu’un escargot rampant à toute « vitesse d’escargot » traversa le chemin devant moi où plutôt devant un de mes pieds. Un moment d’innatention et aurait survenu la catastrophe. Je ne peut m’imaginer la scène, quel horreur. Nous pèlerins, chaque année nous sommes responsable de la morts de milliers d’insectes marcheurs comme nous sur le chemin.
Il est de mon devoir de dénoncer ce fait jusque là passé inaperçu. Pèlerins soyer attentif et vigilant.
Le chemin ça se partage, partagons le. Bon camino.
Maurice le pèlerin vert
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